GÊNE
LACTIC OVULES
Vaginal pessaries for regulating and maintaining vaginal pH
10 vaginal pessaries
Lactic Acid ph Regulator
Glucogen Prebiotic
Chamomilla Recutita Soothing action
Aloe Barbadensis Additional hydrating action

Pourquoi ce produit ?

EVA INTIMA® LACTIC OVULES à l’acide lactique et au glycogène est conçu pour rétablir rapidement la valeur naturellement acide du pH du vagin tout en améliorant sa flore physiologique. En outre, il apaise les symptômes dus à des troubles de la région, comme par exemple les sécrétions, les démangeaisons, les irritations et les brûlures, dus à des infections d’origine bactérienne ou à d’autres conditions et offre une sensation de soulagement grâce aux extraits de camomille et d’aloe vera contenus.

Équilibre – Soulagement

Composition innovante aux extraits d’herbes

Comment ça fonctionne ?

Il rétablit le micro-environnement vaginal avec des valeurs de pH acides qui sont bénéfiques aux lactobacilles et procure à ces derniers le glycogène nécessaire à leur survie.
Cette action renforce les mécanismes de défense topiques et limite l’apparition de gêne.
Le produit est exempt de substances pharmaceutiques, d’hormones, de colorants et de parfums artificiels.

Comment puis-je l’utiliser ?

Appliquer le soir avant le coucher.

  • En cas de vaginite, en plus du traitement pharmaceutique et après un traitement de longue durée avec des antibiotiques ou des contraceptifs : Appliquer une fois par jour pendant 7 jours
  • Pour des raisons de prévention : Appliquer une fois par semaine. Pendant la ménopause, appliquer tous les trois jours.
  • Après les règles, appliquer une fois par jour pendant trois jours.

Retirer le suppositoire vaginal de la capsule à globule en déchirant la partie perforée. Ouvrir la boîte et retirer le suppositoire vaginal en tirant les deux languettes situées sur la partie inférieure de la boîte dans des sens opposés. Insérer le suppositoire vaginal profondément dans le vagin à l’aide de l’indicateur.

NOUS SOMMES ICI pour vous répondre.

Chaque question correspond à un besoin. C'est pourquoi il vaut la peine d'y répondre.

Qu’est-ce que la vaginite ?

Le terme vaginite désigne l’inflammation de la muqueuse vaginale, c’est-à-dire de la membrane qui couvre la surface intérieure du vagin.

Quels sont les symptômes de la vaginite ?

Les principaux symptômes de la vaginite, indépendamment de la cause, sont les démangeaisons, l’irritation, les brûlures et des sécrétions excessives dont la texture, odeur et couleur diffèrent des sécrétions physiologiques. Parfois, ils sont accompagnés de douleurs pendant les rapports sexuels ou la miction.

Quelles sont les causes les plus communes de la vaginite ?

Les causes les plus communes de la vaginite sont les bactéries et les champignons mais elle peut aussi être due à l’absence d’œstrogènes ou à une allergie (p. ex. par l’utilisation de préservatifs ou d’autres produits intravaginaux). Néanmoins, les cas où une inflammation n’a pas une cause connue précise ne sont pas rares. Ces cas sont désignés comme des vaginites non spécifiques et sont habituellement dus à un déséquilibre hormonal (courant pendant la grossesse).

Comment puis-je savoir si je souffre d’une vaginite bactérienne ?

La vaginite bactérienne est le type de vaginite le plus fréquent. Les symptômes les plus courants sont les démangeaisons, les irritations, les brûlures et des sécrétions excessives fluides, d’une odeur prononcée (odeur de poisson) qui peut devenir plus forte après les rapports sexuels ou les règles, de couleur grise.

Cependant, il faut être prudent car il existe des maladies sexuellement transmissibles qui sont dues à des bactéries, telles que l’inflammation vaginale provoquée par le Trichomonas Vaginalis.

Dans tous les cas, un diagnostic et un traitement appropriés et sûrs ne peuvent être assurés qu’après une série d’examens réalisés par un gynécologue (colposcopie, culture des sécrétions vaginales, etc.), une approche recommandée chaque fois que vous observez des changements dans la zone étendue.

Comment puis-je savoir si je souffre d’une vaginite à champignons ?

La vaginite à champignons est le deuxième type de vaginite le plus fréquent. Il ne s’agit pas d’une maladie sexuellement transmissible et elle ne peut pas être « contractée » puisque les champignons font partie de la flore naturelle du vagin et sont normalement présents à petite échelle. Une cause habituelle de leur surdéveloppement, susceptible de provoquer une vaginite, sont les situations qui entraînent une diminution des lactobacilles dans le vagin et la prédominance d’autres microorganismes dans la zone (p. ex. après la prise d’antibiotiques pour quelle que raison que ce soit, après utilisation de solutions vaginales antiseptiques puissantes, etc.).

Les symptômes les plus communs sont des démangeaisons intenses, des irritations, des brûlures et l’apparition d’une quantité excessive de sécrétions blanches de texture onctueuse, appelées leucorrhée, sans une odeur désagréable spécifique.

Dans tous les cas, un diagnostic et un traitement appropriés et sûrs ne peuvent être assurés qu’après une série d’examens réalisés par un gynécologue (colposcopie, culture des sécrétions vaginales, etc.), une approche recommandée chaque fois que vous observez des changements dans la zone étendue.

Comment puis-je soulager les symptômes d’une vaginite ?

Il existe une série de produits capables de vous soulager en fonction de vos symptômes. Cependant, vous ne pouvez pas attaquer la cause de l’inflammation sans consultation préalable de votre gynécologue et sans administration d’un traitement approprié.

VERS PAGE « LES PROBLÈMES »

Pour les vaginites d’origine bactérienne, vous pouvez combiner (schéma pour vaginite bactérienne)

Pour les vaginites d’origine à champignons, vous pouvez combiner (schéma pour vaginite à champignons)

Pour les vaginites d’origine non précise, vous pouvez combiner (schéma pour vaginite non spécifique)

Comment puis-je prévenir l’apparition d’une vaginite ?

L’apparition d’une vaginite peut être prévenue en préservant la flore naturelle de la zone, en assurant la prédominance des lactobacilles, l’environnement acide du vagin (pH 3.5-4.5) et la présence de l’acide lactique ainsi que l’humidité nécessaire pour les tissus. La préservation de ces conditions empêche l’apparition d’inflammations. Dans le cas où ces conditions seraient perturbées, il existe des produits tels que les probiotiques, les régulateurs du pH vaginal et les produits d’hydratation qui peuvent aider à rétablir et à préserver ces conditions ainsi qu’à prévenir les inflammations.

Par exemple, vous pouvez combiner (schéma pour la prévention de la vaginite et pour le renforcement de l’équilibre naturel)

Conseils :

  • Vous pouvez opter pour la prise quotidienne de probiotiques par voie orale sous forme de compléments spéciaux riches en lactobacilles pour renforcer la flore vaginale facilement et de manière naturelle
  • utiliser quotidiennement des solutions nettoyantes spéciales pour la zone intime, dotées d’une protection renforcée contre les microorganismes.

Je souffre souvent de vaginite peu après les règles. Quelle en est la raison ? Que puis-je faire ?

L’arrivée en âge de procréer est marquée par le saignement périodique pendant quelques jours tous les 24 à 28 jours. La présence de sang dans la zone, quoique naturelle, peut perturber légèrement l’environnement vaginal, affectant le pH vaginal ainsi que la population de lactobacilles car le pH du sang est neutre. Cette incidence associée au fait que le sang constitue un substrat nutritif apprécié par les champignons naturellement présents dans le vagin empêche souvent l’organisme de contrôler le surdéveloppement des champignons qui sont à l’origine d’une inflammation dans la zone intime.

En renforçant le mécanisme d’élimination naturelle des restes de sang et en rétablissant les valeurs acides du pH naturel du vagin, il est possible de limiter l’apparition de vaginite après la fin des règles.

 

VERS PAGE « LES PROBLÈMES »

 

Par exemple, vous pouvez combiner (schéma pour la prévention de la vaginite et pour le renforcement de l’équilibre naturel après les règles)

Conseils :

  • Opter pour des serviettes hygiéniques en coton, plutôt que des tampons, et les changer régulièrement
  • utiliser quotidiennement des solutions nettoyantes spéciales pour la zone intime, dotées d’une protection renforcée contre les microorganismes.
  • Vous pouvez opter pour la prise quotidienne de probiotiques par voie orale sous forme de compléments spéciaux riches en lactobacilles pour renforcer la flore vaginale facilement et de manière naturelle

Je souffre souvent de récidives de vaginite à champignons. Quelle en est la raison ? Que puis-je faire ?

Même si les champignons sont des habitants naturels du vagin, ils sont souvent à l’origine d’inflammations. Cependant, il y a des facteurs spécifiques qui empêchent de réduire leur nombre et de prévenir l’apparition d’une vaginite. Par conséquent, les symptômes d’une vaginite à champignons réapparaissent souvent très vite après la dernière incidence, ce qu’on appelle une récidive. Les principales causes en sont la résilience accrue aux traitements pharmaceutiques habituels, le diagnostic incomplet, l’autodiagnostic, le non respect des schémas de traitement, etc.

Dans tous les cas, un diagnostic et un traitement appropriés et sûrs ne peuvent être assurés qu’après une série d’examens réalisés par un gynécologue (colposcopie, culture des sécrétions vaginales, identification des souches responsables, choix de substances actives efficaces, etc.), une approche recommandée chaque fois que vous observez des changements dans la zone étendue.

Le respect rigoureux des schémas de traitement et l’adoption de pratiques qui renforcent immédiatement l’équilibre et la défense de la zone aident à prévenir de manière efficace les récidives.

Par exemple, vous pouvez combiner (schéma pour la prévention de la vaginite et pour le renforcement de l’équilibre naturel)

Conseils :

  • Opter pour des sous-vêtements en coton et éviter les sous-vêtements synthétiques trop serrés
  • Éviter les protège-slips
  • Changer immédiatement de maillot de bain et ne pas s’asseoir directement sur le sable de la mer
  • Éviter les vêtements serrés en général et tout ce qui risque d’augmenter l’humidité et la température de la zone de manière considérable
  • utiliser quotidiennement des solutions nettoyantes spéciales pour la zone intime, dotées d’une protection renforcée contre les champignons.

Pourquoi est-il essentiel d’assurer une quantité importante d’acide lactique dans le vagin à tous les âges ?

L’acide lactique est le facteur qui est responsable de l’environnement acide du vagin.

Pendant l’âge de procréer, il est libéré des lactobacilles présents dans la flore physiologique du vagin après le métabolisme du glycogène que les lactobacilles utilisent comme nutriment. L’environnement acide du vagin est propice et renforce l’action des lactobacilles tout en réduisant le développement d’autres microorganismes pathogènes.

Cependant, la préservation des conditions acides du vagin peut aussi être un moyen de prévenir l’apparition d’infections même après l’âge de procréer, comme par exemple lors de la ménopause. À ce stade de la vie d’une femme peuvent aider les régulateurs du pH vaginal qui procurent directement de l’acide lactique, aidant à obtenir l’acidité requise dans le vagin.

Je souffre de démangeaisons, d’irritations et de brûlures dans la zone intime. Qu’est-ce que cela peut être ?

Les démangeaisons, les irritations et les sensations de brûlure sont des signes cliniques qui se manifestent dans la région vaginale en raison de conditions dues à des causes variées. Ces signes se manifestent souvent en cas d’infections d’origine variée, auquel cas ils sont accompagnés de sécrétions excessives avec ou sans odeur. L’apparition de ces symptômes en l’absence de sécrétions peut être due à la sécheresse vaginale.

Dans tous les cas, un diagnostic et un traitement appropriés et sûrs ne peuvent être assurés qu’après une série d’examens réalisés par un gynécologue (colposcopie, culture des sécrétions vaginales, etc.), une approche recommandée chaque fois que vous observez des changements dans la zone étendue.

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